Programme Alpha-Oméga 14

Épisode 14: Guerre des esprits, partie II

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Zack se réveilla lentement et s'étira. Exceptionnellement, il était seul. Il n'avait pas voulu de compagnie la nuit précédente, après le stress de libérer tout le monde.

Ou du moins, tous ceux qui me laisseraient faire. Plus il y pensait, plus il s'interrogeait sur les trois qui ne lui avaient pas permis de les libérer. Wendy, en fait, n'était pas sous son contrôle, il le savait. Il ne l'avait jamais programmée pour l'aimer, il l'avait seulement programmée pour faire quelque chose qui ne s'était jamais concrétisé de toute façon. Il avait aussi, à sa demande, ôté sa jalousie.

Il savait qu'il avait programmé sa mère, mais il ne lui avait pas dit d'être excitée par lui, il lui avait seulement dit de le laisser faire ce qu'il voulait. Il savait qu'une erreur de programmation l'avait amenée à devenir une dynamo sexuelle, et il était devenu sa cible parce que… pourquoi ?

Eh bien, il devait admettre que c'était probablement parce qu'il avait pu subvenir à ses besoins que son mari n'avait jamais eus. Il pouvait et continuerait à le faire ; le programme avait encore son utilité, si l'on y prenait garde.

Mary était la plus déroutante. Il ne pensait pas l'avoir programmée pour qu'elle devienne sa partenaire. Il n'était pas sûr du cours des événements qui avaient conduit à leur relation, mais il ne pensait pas vraiment que c'était de sa faute. Ou du moins, ce n'était pas l'œuvre de PAO. Il pensait qu'elle avait peut-être eu des sentiments avant le programme, et quand il avait saisi l'occasion de lui tendre la main, le programme lui avait permis de lâcher prise et de le prendre comme amant.

En réfléchissant à tout cela, il réalisa à quel point il avait de la chance. Même sans le programme, il avait réussi à trouver trois femmes qui coucheraient avec lui. Angela était une surprise pour lui ; il s'était attendu à ce qu'elle soit aussi en colère que Jill l'avait été. Il voulait en parler avec elle, mais il n'avait pas encore le temps. Terry était aussi une surprise, mais pas aussi grande ; il l'avait sauvée d'une vie avec Adam, et elle voyait probablement les choses de manière pragmatique : mieux vaut le gentil bâtard que le méchant.

Stéphanie l'avait terrassé la nuit précédente lorsqu'elle avait demandé à être replongée. Il ne comprenait pas entièrement pourquoi elle avait choisi cela, mais il avait fait ce qu'elle avait demandé. Elle était beaucoup plus heureuse quand il est parti, cependant, et pour lui, c'était assez bien.

Il s'étira de nouveau et sortit du lit pour commencer sa journée. Il devait s'occuper d'Adam, mais comment ?

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Ce n'est qu'après le déjeuner que Gabrielle est arrivée. Contrairement à lui, elle essayait de maintenir sa présence à leur programme d'été. Zack avait presque renoncé à obtenir une note de passage, car il avait raté la majeure partie de la semaine précédente, et était susceptible de manquer plus de temps la semaine prochaine. Il chassa cette pensée alors qu'ils s'asseyaient pour discuter de choses.

« Alors, et maintenant ? elle a demandé.

"Adam doit payer pour ce qu'il a fait. Je ne sais pas exactement quoi faire."

"Eh bien, il y a l'évidence," offrit-elle.

"C'est quoi 'l'évidence' ?"

"Il a essayé de te tuer. Alors tue-le."

Zack la fixa, essayant de comprendre si elle était sérieuse. "Hum... Je ne suis pas vraiment du genre à tuer... Je n'ai même jamais tiré avec une arme à feu."

Gabrielle roula des yeux. "Il a envoyé 'des gens' après vous. Alors envoyez quelqu'un après lui. Vous avez des domestiques à Belleville, n'est-ce pas ?"

"Euh, ouais, je suppose que oui. Ils ne sont pas du genre à tuer non plus, mais ils le feraient probablement si je le leur disais."

"Alors, appelle l'un d'eux et sors ce bâtard."

"D'accord. Je vais devoir mettre en place certaines choses, afin que nous puissions être sûrs de ce qui se passe."

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Zack et Gabrielle étaient assis devant le moniteur, regardant. Sur l'écran était une image vidéo. Pour le moment, il montrait les mains de quelqu'un sur un volant, conduisant dans une rue. Peu de temps après, la personne est entrée dans le parking d'Adamant Computers et a éteint la voiture.

L'homme, dont Zack ne se souvenait même pas du nom, sortit de la voiture et se dirigea vers le bâtiment. Le pistolet qu'il avait acheté dans la rue moins de vingt minutes auparavant était niché dans le bas de son dos, caché par une blouse de laboratoire. Le garde à la porte d'entrée lui accorda à peine un second regard.

À l'intérieur du bâtiment, le programmeur s'est inscrit et a dit bonjour au garde. Ce garde l'a regardé de plus près, mais c'était encore superficiel. Il a vérifié visuellement tous ceux qui franchissaient la porte, et il n'a pas examiné cette personne plus que n'importe qui d'autre. L'arme était suffisamment bien cachée pour ne pas être remarquée, et la caméra sans fil était conçue pour ressembler à un stylo qui se trouvait dans sa poche, regardant le monde.

L'homme se dirigea vers l'ascenseur et appuya sur le bouton. C'était la première indication pour quiconque que quelque chose sortait de l'ordinaire. Le bouton sur lequel il a appuyé n'était pas pour l'étage où se trouvait son bureau. Il appuya sur le bouton du quatrième étage. Ce qui troubla Zack pendant un moment, c'est que ce n'était pas l'étage où se trouvait le bureau d'Adam. Il n'y avait cependant aucun moyen pour lui de communiquer avec son sbire, alors il devait juste espérer que le gars savait ce qu'il faisait.

L'ascenseur emmena le programmeur au quatrième étage et il sortit, regardant autour de lui avec désinvolture. Personne ne l'a confronté, même si ce n'était pas son département. L'homme a trouvé des toilettes et est entré pour se laver les mains. Ils le virent dans le miroir, se regardant. Il était clair qu'il se préparait mentalement à quelque chose qu'il n'aurait jamais pensé faire.

Après quelques instants de tension, l'homme retourna dans le couloir et se dirigea vers la cage d'escalier. Ils ont réalisé qu'il avait compris qu'aller directement au troisième étage pouvait être risqué et que s'il se rendait à son bureau habituel au deuxième étage, quelqu'un pourrait le reconnaître et se souvenir de lui. Le programmeur n'était pas dupe.

Sortant de la cage d'escalier dans le couloir du troisième étage, il se dirigea vers la droite. Il était à moins de trois mètres de la porte du bureau d'Adam quand elle s'ouvrit. L'homme fut assez surpris de voir un garde en chemise bleue debout dans l'embrasure de la porte, le regardant.

L'homme se retourna et deux autres gardes sortirent de l'ascenseur. Un quatrième garde sortit d'une pièce derrière la paire d'ascenseurs. L'homme savait qu'il n'allait pas pouvoir terminer sa tâche, mais il ne comprenait pas vraiment pourquoi.

"C'est assez loin, Jarrod. Gardez vos mains là où nous pouvons les voir, et ne faites pas de mouvements brusques." Le garde s'avança vers lui tandis que les autres gardaient leurs mains sur leurs armes, prêts à dégainer en un instant s'il faisait une bêtise.

"Je suppose que c'est une bonne chose que nous ayons installé ces détecteurs dans les ascenseurs, monsieur," dit William, se tenant maintenant sur le pas de la porte du bureau d'Adam.

"Apparemment," répondit Adam, contrôlant sa rage. "Je n'arrive pas à croire que Griffin ait pensé qu'il s'en tirerait comme ça !"

"Il l'a presque fait, monsieur," dit l'un des autres gardes alors que Jarrod était menotté. "Le détecteur n'a pas obtenu une lecture claire sur le pistolet, et c'est vraiment seulement parce qu'il a fait quelque chose hors de la norme que nous l'avons attrapé."

"Alors je m'attends à ce que vous renforciez la sécurité !" Adam a craqué et est retourné dans son bureau. Les gardes se regardèrent, ne sachant pas comment ils pourraient sécuriser davantage le bâtiment sans faire appel à l'armée.

Alors qu'ils emmenaient Jarrod dans le couloir, Zack se tourna vers Gabrielle et dit : « Putain.

"Eh bien, le plan A a échoué. Je suppose qu'il est temps pour le plan B ?"

"Qu'est-ce que c'est que le plan B ?" demanda Zack.

"Bonne question. Je ne sais pas."

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Quand Gabrielle se réveilla le lendemain matin, elle regarda pour voir Zack travailler dur sur l'ordinateur. Elle se demanda si, après leurs longues séances de sexe, il avait réussi à dormir. Il a montré tous les signes d'avoir été debout pendant un bon moment.

Elle bailla doucement et roula hors du lit pour se diriger vers la salle de bain. Quand elle est revenue, Zack travaillait encore. Elle s'approcha et enroula ses bras autour de son cou, poussant ses seins nus contre l'arrière de sa tête. Elle embrassa le haut de sa tête en guise de salutation.

« Hé. Depuis combien de temps es-tu éveillé ? elle a demandé.

"Quelques heures."

« Comme… neuf ? dit-elle.

Il a rougi. "Six," dit-il après avoir consulté l'horloge. "J'ai eu une idée pour... eh bien, ce n'est pas vraiment un plan B, mais c'est un plan."

"D'accord..."

Elle pouvait dire qu'elle n'obtiendrait pas beaucoup plus de lui. Elle s'habilla et descendit prendre son petit déjeuner.

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"Alors qu'est-ce que ça fait ?" elle a demandé.

"C'est un... hmmm. Je suppose que c'est un virus, sauf qu'il faut des humains pour le propager."

« Mais qu'est-ce que ça fait ? demanda-t-elle à nouveau.

"Deux choses. Premièrement, il dit aux gens qui le voient de le diffuser. Deuxièmement, il les informe qu'Adamant Computers tente une expérience de contrôle de l'esprit sur la population générale du pays. Ensuite, il leur dit de rechercher Adam Sandalwood. et punis-le pour ce qu'il a fait."

« Alors, tu vas juste laisser le pays s'occuper de lui ?

"Non. Ce que je vais faire, c'est installer ça sur une douzaine de sites différents à fort trafic. Je vais les configurer pour qu'ils ne fonctionnent pas pendant... comme une semaine. À moins que je ne les transforme d'ici une semaine, ces programmes fonctionneront, et on parlera d'Adam. C'est une police d'assurance.

"Pourquoi ne pas simplement l'utiliser pour se débarrasser d'Adam ? Il ne peut pas arrêter tout le monde..."

"Parce que je ne veux pas que des passants innocents soient tués à moins qu'il n'y ait aucun autre moyen d'arrêter Adam."

"Vous devez savoir que ce Jarrod est probablement mort..."

"Ouais, mais il travaillait pour l'entreprise. Cela signifie qu'il n'est pas innocent. Il n'était certainement pas un spectateur."

"D'accord, assez juste. Alors, quand allez-vous le sortir?"

"Dès que j'ai fini de travailler sur le script. C'est plus délicat que la plupart, car il faut transmettre des connaissances, plutôt que de simplement donner des commandes. Je veux dire, les gens vont tout d'un coup 'savoir' ça. C'est délicat."

Gabrielle hocha la tête. "Je peux voir où cela causerait un problème. Vous avez besoin d'aide ?"

"Probablement, mais je ne vois pas comment diviser la tâche pour que deux personnes puissent y travailler."

"D'accord. Eh bien, je serai en bas si tu as besoin de moi. Je ne veux pas être dans tes cheveux pendant que tu travailles."

"Merci. J'apprécie."

"Aucun problème."

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Gabrielle revint à l'étage après encore quatre heures, pour trouver Zack toujours en train de travailler.

"Tu n'as pas encore fini ?" demanda-t-elle, surprise.

« À peu près. Je suis juste en train de compiler le nouveau programme maintenant et d'éliminer les bogues.

"Pourquoi avez-vous besoin de recompiler ? Je pensais que c'était juste une histoire de script..."

Zack secoua la tête. "Je devais créer un programme qui tenait sur une page Web, et que je pouvais faire attendre une semaine."

"Oh," dit-elle, la compréhension naissant en elle. "Alors tu as dû réécrire tout le programme ?"

"Pas tout. Juste quelques morceaux."

« Est-ce que ça marche toujours ?

"Oui, je l'ai déjà testé. Cela a pris vingt minutes..."

« Cool. Alors quelle est la prochaine ?

"Le télécharger. Ça, vous pouvez aider."

"Faisons-le."

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"M. Griffin. Quel plaisir de vous revoir en classe. Voudriez-vous expliquer vos absences de la semaine dernière ?" demanda son instructeur.

"Désolé, monsieur. Une jeune femme qui vit avec nous a été grièvement blessée et hospitalisée. J'essayais de m'occuper des choses à la maison."

« Je vois. Les choses sont-elles réglées maintenant ? Tu réalises qu'il reste encore deux semaines dans ce programme, et ces dernières semaines sont les plus importantes.

"Je le sais, monsieur. J'espère être en mesure d'assister aux cours plus régulièrement pour le reste du trimestre."

"Bien. Maintenant, commençons. Les deux dernières semaines sont pour votre projet final, qui sera comme suit..."

Gabrielle se pencha et dit : "Tu sais que tu vas manquer quelques jours de plus..."

"J'espère qu'il n'y en aura pas trop."

"Nous pouvons travailler ensemble sur votre projet."

"Merci."

« Miss Riddick, avez-vous fini de bavarder ? demanda le professeur. Gabrielle devint cramoisie.

"Oui, monsieur. Désolé, monsieur."

"Bien." Le professeur a continué à parler, et Gabrielle et Zack ont ​​prêté plus d'attention. D'autres problèmes pourraient attendre.

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De retour à la maison, la plupart des filles ne faisaient que se prélasser, tout comme Brian. Il s'assit sur le canapé avec Bonnie, qui lui mordillait le cou en regardant un film. Il aimait sa nouvelle vie, même s'il était conscient qu'il y avait des aspects sombres.

L'un de ces aspects sombres rugissait dans la rue à grande vitesse. Alors que la voiture tournait au coin de la rue, le passager à l'avant a baissé sa vitre. Alors qu'ils approchaient de la maison Griffin, il se tourna sur son siège et pointa son Uzi par la fenêtre. Il a ouvert le feu alors qu'ils passaient devant la maison, la parsemant d'un chargeur entier de trente balles.

À l'intérieur de la maison, le bris de la fenêtre a été le premier véritable signe de trouble. Brian a immédiatement crié : "Tout le monde à terre !" et plongea vers le sol, renversant la table basse dans le processus.

Bonnie n'était pas aussi rapide dans ses mouvements. Elle a commis l'erreur de se lever pour s'éloigner du canapé, et une balle a traversé la fenêtre et lui a déchiré le bras. Elle hurla de douleur, s'agrippant à son bras, et tomba à genoux sous le choc et la peur. Cela lui a sauvé la vie car une autre balle est passée juste au-dessus de sa tête.

Brian jura en voyant le sang couler du bras de Bonnie. Il rampa jusqu'à elle et la tira jusqu'au sol, essayant de la protéger. Il a entendu le moteur de la voiture rugir à plein régime alors que les hommes armés s'éloignaient. Brian n'avait aucune idée de qui ils étaient, mais il était sûr que Zack saurait ce qui se passait. Les deux n'avaient pas beaucoup communiqué pendant l'été, puisque Brian était occupé à sortir avec ses sœurs, et Zack était parti faire des choses différentes. Brian pensa qu'il était peut-être temps de rattraper Zack et de découvrir ce qui se passait.

Au bout d'une minute environ, il entendit un autre cri. Il leva les yeux pour voir sa mère debout dans l'embrasure de la porte, regardant sa fille.

"Est-ce qu'elle..." commença à demander Mary.

"C'est juste son bras. Appelle une ambulance," dit Brian, semblant beaucoup plus cool qu'il ne l'était. Bâtards.

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Ce soir-là, la famille s'est réunie et Zack a expliqué, en détail, exactement ce qui se passait. Il n'a rien révélé sur le programme qui n'était pas déjà connu. Il n'a pas, par exemple, dit à Pam qu'elle était programmée pour être l'éternelle esclave sexuelle de son frère.

Brian a fulminé pendant un moment, mais pas contre Zack. Il était en colère que quelqu'un ait tiré sur sa sœur. Finalement, il se calma et se tourna vers Zack. "Alors, qu'allons-nous faire à ce sujet?"

Zack soupira audiblement. "Nous n'allons rien faire. Apparemment, je vais devoir m'occuper personnellement d'Adam."

Sa mère a immédiatement demandé : « N'est-ce pas dangereux ?

"Ouais, ça l'est. Mais ce n'est pas le cas de traiter avec lui."

"Zack, je m'inquiète..."

« Je sais. Gabrielle, tu veux venir avec moi ? À toi de voir. Si tu veux reculer maintenant, je ne dirai rien.

"Putain cette merde. J'y vais. Mais... est-ce qu'on peut emmener quelques autres personnes ?"

« Qui, et pour quoi ? demanda Zack, confus.

"Euh... soulagement du stress."

Zak sourit. "Qu'est-ce que je suis, foie haché?" Il a demandé.

Gabrielle rougit. "J'essaie de me sevrer de toi, puisque nous devons nous séparer dans quelques semaines." Le reste du groupe gloussa à la façon dont elle avait formulé cela, et Zack rougit légèrement.

"Oh. Ok. Euh, ouais, tu peux amener quelqu'un, si tu as quelqu'un en tête."

« Puis-je venir avec toi, Zack ? Wendy a demandé.

Zack s'agita. Il ne voulait pas que Wendy s'approche de la zone dangereuse, mais s'il devait emmener quelqu'un, ce serait elle. Il hocha la tête, toujours incertain que c'était la bonne chose à faire. Elle s'approcha de lui et l'embrassa.

"Quand partons-nous?" a demandé Gabrielle.

"Demain soir. Je ne veux pas manquer plus de cours que nécessaire. Nous prendrons l'avion, dormirons à l'hôtel, puis nous nous occuperons de lui mercredi. Nous reviendrons mercredi soir, si nous survivons."

"Ce n'est pas drôle, Zack," avertit Brian.

"Je ne suis pas drôle. Si nous ne battons pas ce type, nous allons probablement mourir. C'est si grave. Demandez à Shirley."

La famille est devenue très silencieuse à cela.

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"Vous semblez être terriblement occupé aujourd'hui, M. Griffin," dit l'instructeur en regardant par-dessus son épaule. Zack a appuyé sur une combinaison de touches pour masquer l'écran. Il n'avait pas travaillé sur son projet d'école, après tout.

"J'ai beaucoup de choses à rattraper," dit Zack en le regardant.

"Oui, certainement. Tu... seras en classe à partir de maintenant ?" Il a demandé.

« Du mieux que je peux, monsieur, » dit Zack, jetant un coup d'œil à Gabrielle, qui regardait maintenant le professeur.

"Ce n'est pas très rassurant, M. Griffin," dit le professeur en fronçant les sourcils.

"Je suis désolé, monsieur. Mais ma famille passe avant tout."

"Assez."

Alors que l'instructeur s'éloignait, Gabrielle se pencha et demanda : « Quel est son problème ?

Zak haussa les épaules. "C'est un enseignant. Il doit se plaindre quand tu sèches son cours."

Gabrielle gloussa, mais se remit ensuite au travail.

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Alors que les adolescents survolaient le Kentucky, Wendy a finalement commencé à exprimer ses craintes.

"Zack, est-ce que ça va vraiment être... Je veux dire, pourrais-tu vraiment..."

"Ouais. Ce gars d'Adam est un sale fils de pute. Je ne voulais pas vraiment te laisser te rapprocher de lui."

« Alors pourquoi m'as-tu laissé venir ?

"Parce que tu as demandé, et je ne peux pas te dire non." Il lui sourit et elle l'embrassa doucement. Gabrielle s'occupait dans une autre partie de l'avion avec son ami qu'elle avait présenté comme étant Oliver.

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"Que faisons-nous maintenant?" a demandé Gabrielle.

"Organiser le transport pour demain soir."

"Et si nous n'étions pas revenus dans le temps ?"

Zack la regarda ostensiblement et dit : « Et si on n'était pas de retour du tout ? Il désigna les deux autres, et Gabrielle comprit le message.

"Droit."

Ils ont pris les dispositions nécessaires avec un pilote, puis ils se sont dirigés vers leur hôtel pour se détendre.

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Zack conduisit Wendy dans leur chambre d'hôtel et ferma la porte. Gabrielle et Oliver logeaient dans la chambre voisine, avec une porte communicante. Il s'est assuré que la porte était déverrouillée, en cas d'urgence, mais l'a fermée, pour plus d'intimité.

Wendy s'assit sur le lit et s'étira, enlevant ses chaussures et ses chaussettes puis s'allongeant sur le lit. Elle regarda Zack du coin de l'œil alors qu'il se déplaçait dans la pièce, posant ses affaires là où il le voulait. Elle ne se leva pas du lit jusqu'à ce qu'il entre dans la salle de bain.

Quand Zack sortit de la salle de bain, Wendy avait enlevé son jean, laissant son large T-shirt pour couvrir sa culotte. Il n'a pas fait le meilleur des travaux à ce sujet. Elle s'avança vers lui et enroula ses bras autour de son cou. Elle tourna la tête pour le regarder dans les yeux, puis elle pressa ses lèvres contre les siennes. Le baiser était doux, mais passionné. Sa langue glissa bientôt hors de sa bouche, demandant l'entrée dans la sienne.

Zack entrouvrit les lèvres et sa langue accueillit la sienne. Le couple s'étreignit plus étroitement alors que leurs langues dansaient. Wendy passa sa main dans ses cheveux et pressa son corps contre lui aussi fort qu'elle le put. Zack la tenait par la taille, l'attirant contre lui. C'était comme s'ils essayaient chacun de fusionner leurs corps en un seul.

Finalement, Zack rompit leur baiser. Il regarda sa petite amie et sourit doucement.

"Je t'aime, Angel," dit-il doucement.

"Je t'aime aussi. Je m'inquiète pour demain."

"Je sais. Moi aussi."

"Mais au moins nous avons ce soir. Fais-moi l'amour."

Zack l'embrassa à nouveau, laissant tomber légèrement ses mains, puis il les remonta sous sa chemise. Elle miaula doucement tandis que ses doigts caressaient sa peau nue. Zack rompit leur baiser pour pouvoir commencer à mordiller sa mâchoire. Il déplaça lentement sa bouche le long de sa mâchoire, puis glissa jusqu'à son oreille. Alors qu'il prenait son lobe entre ses lèvres, elle frissonna.

Pendant ce temps, les mains de Zack glissèrent plus haut dans son dos, entraînant sa chemise avec elles. Elle posa ses propres mains sur ses épaules, pour le laisser faire ce qu'il faisait. Une fois que ses mains furent montées aussi haut qu'elles le pouvaient confortablement, il lâcha le lobe de son oreille et recula légèrement. Wendy leva les bras alors qu'il enfilait sa chemise, la faisant passer par-dessus sa tête.

Alors que la chemise tombait au sol, le couple se remit ensemble, s'enlaçant à nouveau fortement. Les mains de Zack trouvèrent rapidement le fermoir du soutien-gorge de Wendy, et il le décrocha avec une facilité éprouvée. Il fallut un long moment avant que le soutien-gorge ne tombe au sol, car ils ne voulaient pas mettre fin à leur étreinte pour l'instant. Finalement, cependant, elle fut glissée de ses bras et tomba silencieusement sur le tapis.

Zack prit la main de Wendy et l'emmena vers le lit, la faisant doucement descendre dessus. Il ne prit pas le temps du tout d'enlever la plupart de ses propres vêtements, se laissant juste en slip. S'installant sur le lit à côté d'elle, il fit courir sa main le long du ventre de Wendy, puis la laissa remonter jusqu'à l'un de ses seins.

Wendy ferma les yeux et soupira à son contact, appréciant la façon dont ses doigts massaient ses seins et la façon dont sa main moulait la chair de son corps. Elle le sentit bouger, puis elle frissonna de plaisir lorsque sa langue courut sur l'un de ses mamelons. Elle gémit doucement alors que ses lèvres encerclaient le nœud, le suçant et le tirant tandis que sa langue voletait dessus.

Alors que Zack déplaçait sa bouche vers son autre sein, Wendy gémit à nouveau, plus fort cette fois. Elle arqua le dos et Zack commença à sucer son sein tandis que sa langue continuait à prodiguer son attention sur son mamelon.

Après un long moment de pur bonheur, Wendy repoussa Zack. Elle continua à le pousser doucement jusqu'à ce qu'il roule sur le dos. Une fois qu'il fut là, elle descendit de son corps et saisit ses sous-vêtements. Très doucement, elle les retira, loin de son corps, puis de ses hanches. Zack se leva pour l'aider, et bientôt le vêtement fut jeté au sol avec le reste des vêtements.

Wendy se retourna pour regarder la bite dure et attendante de Zack. Elle se mordit la lèvre de désir, plus que prête pour ce qui allait arriver. Elle s'accroupit plus bas sur lui à quatre pattes et fit courir sa langue sur toute la longueur de sa bite. Zack gémit de plaisir alors qu'elle répétait le mouvement. Elle commença alors à embrasser sa hampe, de haut en bas, jusqu'à ce que Zack tremble d'anticipation. Enfin, elle a déplacé sa bouche jusqu'à la tête de sa queue et a lentement écarté ses lèvres pour la laisser passer entre elles. Elle a établi un contact léger comme une plume jusqu'à ce qu'elle ait autant de lui dans sa bouche qu'elle pouvait en prendre. Puis elle referma ses lèvres sur sa queue et commença à le sucer.

Zack grogna bruyamment au plaisir que cela induisait, et était à peine capable de réfléchir alors qu'elle commençait à faire glisser sa bouche de haut en bas sur sa perche. Il agrippait le drap, la tension dans son corps se construisant alors qu'il s'élevait vers l'orgasme. Wendy n'a pas ralenti son assaut sur sa virilité, ajoutant sa langue au mélange, la glissant d'avant en arrière contre le dessous de son arbre.

Il n'en fallut pas beaucoup avant que Zack ne perde le contrôle. Avec un dernier gémissement fort, il poussa ses hanches vers le haut et cracha sa charge de sperme profondément dans sa bouche. Wendy a continué à le sucer jusqu'à ce que chaque goutte de sa semence ait été éjectée, puis avalée. Elle lâcha la tête de sa bite, nettoyant les dernières gouttes avant de la laisser glisser d'entre ses lèvres.

Zack respirait comme un cheval de course, mais il n'allait pas la laisser s'en tirer comme ça. Alors qu'elle se glissait pour s'allonger à côté de lui sur le lit, il roula pour être sur elle. Elle lui sourit alors qu'il l'embrassait doucement, puis il commença à glisser le long de son corps, l'embrassant au fur et à mesure.

Zack ne rendit qu'un bref hommage aux seins de Wendy, car ils avaient déjà été prodigués avec attention. Au moment où il se dirigea vers son nombril, elle se tordait déjà, de toute façon. Alors que sa langue glissait sur l'intérieur de sa cuisse, elle frissonna. Quand il est entré en contact avec les lèvres de sa chatte, elle a crié de joie et a secoué ses hanches, poussant sa chatte contre sa langue.

Roulant sa langue, Zack l'enfonça aussi profondément qu'il le put dans la chatte de Wendy. Alors qu'il faisait entrer et sortir sa langue raidie d'elle, elle cria à nouveau. Zack a continué à la baiser avec sa langue, remuant le bout de celle-ci quand il était complètement en elle. Il savait qu'elle approchait de son propre orgasme, car il pouvait à peine s'accrocher à elle. Il a sorti sa langue de sa chatte et l'a glissée vers le haut, la passant sur son clitoris alors qu'il respirait doucement à travers son pubis.

C'était tout ce que Wendy pouvait supporter. Un grand cri sortit de sa bouche alors que son corps tremblait, perdu dans les affres de l'orgasme. Zack a tenu bon pendant le trajet, continuant à lécher son clitoris alors qu'elle se débattait et frissonnait pendant son apogée.

Après un long moment, Wendy a commencé à descendre de son high. C'était elle qui respirait difficilement maintenant, et Zack sourit alors qu'il remontait sur son corps. Il se pencha pour l'embrasser tendrement, mais elle l'enlaça et écrasa sa bouche contre la sienne. Bientôt, leurs langues se battirent à nouveau, et il ne fallut pas longtemps avant que Zack ne soit à nouveau dur et prêt à partir.

Sans rompre leur baiser, Zack se glissa entre les jambes de Wendy. Il a glissé contre elle et sa tête de bite a frotté sur les lèvres de sa chatte. Wendy gémit en le sentant. Zack recommença, et elle gémit plus fort, resserrant sa prise sur lui. Il a reçu le message.

Se baissant, Zack s'ajusta. Sa prochaine poussée a fait glisser sa bite dans la chatte de Wendy. Elle gémit encore plus fort, mais rompit sa prise sur lui alors que son corps tremblait aux sensations.

Zack s'est frayé un chemin en elle jusqu'à ce qu'il soit enterré jusqu'aux couilles dans sa chatte. Puis il a commencé à caresser en elle. Il n'a pas pris la peine de commencer lentement, car ils étaient tous les deux bien au-delà du besoin d'échauffement. Il commença à s'enfoncer durement en elle, et elle recula ses hanches vers lui tout aussi fort. Les deux étaient en rut ensemble comme des animaux, leurs passions brûlant comme un feu de joie.

Les deux ont continué à se coupler comme ça, à baiser sauvagement, pendant de longs moments. Finalement, Wendy rompit leur baiser et fit ralentir Zack. Il le fit, puis la regarda d'un air interrogateur.

"Je veux être au top", dit-elle avec un sourire.

Zack lui rendit son sourire, puis se pencha pour l'embrasser. Sans retirer sa bite de sa chatte, il se retourna, de sorte qu'elle était maintenant sur lui. Wendy s'est mise à genoux, regardant son amant. Alors que les mains de Zack venaient lui caresser les seins, elle commença à se cabrer sur sa queue.

Alors que Wendy retrouvait son rythme, les hanches de Zack se redressèrent en synchronisation avec ses mouvements. Ses doigts tordaient et tiraient sur ses mamelons, la faisant gémir et crier de bonheur. Ils avaient bientôt égalé, puis dépassé, leur tonus de fièvre antérieur alors qu'ils s'élevaient tous les deux vers l'apogée.

Wendy est arrivée la première, criant et se débattant sauvagement sur la bite de Zack. Sa chatte massait sa queue, envoyant des picotements de plaisir dans tout son corps. Zack fut poussé au bord, puis par-dessus, alors que son propre corps commençait à se contorsionner avec l'orgasme massif qui l'envahit. Il a lâché son sperme profondément dans Wendy, leurs mouvements maintenant non coordonnés alors qu'ils chevauchaient chacun la vague de plaisir jusqu'à ce qu'elle s'écrase.

Enfin, les amants commencèrent à descendre de leur apogée. Wendy s'allongea sur la poitrine de Zack et il l'enlaça. Il ne fallut pas longtemps avant qu'ils ne s'endorment dans les bras l'un de l'autre.

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Gabrielle et Zack se sont rencontrés tôt le lendemain matin dans le café en face de leur hôtel. Leurs partenaires n'étaient pas avec eux.

"Tu as l'air détendue," dit Zack à Gabrielle avec un sourire.

"Et tu l'as sûrement entendu hier soir," répondit-elle avec un sourcil arqué. Les deux partagèrent un regard complice.

« Comment l'avez-vous rencontré, de toute façon ?

"C'est notre RA."

"Ton quoi?"

"Assistant résident. Comme une mère de dortoir, sauf qu'il est un étudiant normal. Il vit dans mon dortoir."

"Mais votre dortoir est..."

"Normalement mixte. C'est le programme qui nous impose cette stupide ségrégation."

"Ah. Je me demande pourquoi ils n'ont pas choisi un dortoir avec une femme RA, alors."

"Ils sont en cours d'utilisation. Nous lui avons demandé."

"Je parie qu'il a passé un été amusant," dit Zack avec un sourire.

Gabrielle lui tira la langue, puis devint sérieuse. « Quand allons-nous partir ?

"Après le petit-déjeuner. C'est peut-être ton dernier repas, alors fais-en un bon."

Gabrielle le regarda d'un drôle d'air, puis prit son menu et le parcourut. Zack a fait de même.

Le petit déjeuner était une affaire tranquille.

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Zack a garé la voiture de location sur le parking de l'entreprise en face d'Adamant Computers. Il était sûr que les agents de sécurité accordaient plus d'attention à ceux qui arrivaient en voiture qu'à ceux qui arrivaient à pied.

« Tu es prêt ? » demanda-t-il à Gabrielle. Elle ajusta son chapeau et hocha la tête.

Zack portait également un chapeau et des lunettes de soleil. Il ne pensait pas vraiment que cela tromperait qui que ce soit, mais ils portaient des combinaisons et transportaient des boîtes à outils, pour ressembler à des ouvriers d'entretien, du moins de loin, à un observateur occasionnel.

Ils ne comptaient pas sur de nombreux observateurs occasionnels aujourd'hui.

Ils traversèrent la rue et pénétrèrent dans la propriété d'Adamant. Alors qu'ils approchaient des portes, Gabrielle prit une profonde inspiration et la laissa échapper.

Zack dit solennellement : « Abandonnez tout espoir, ô vous qui entrez ici.

Gabrielle le regarda, et elle ne put s'empêcher de rire.

"Encore une fois sur la plage ! Euh, dans la brèche !" dit Zack. Gabrielle éclata de rire.

« Arrêtez. Nous allons nous faire prendre », dit-elle, mais son sourire ne s'est pas estompé.

"Quoi qu'il arrive, c'était bien de travailler avec vous", a déclaré Zack.

"Toi aussi."

Les deux sont entrés dans le bâtiment, se sentant vraiment comme s'ils venaient de franchir les portes de l'Enfer lui-même.

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Lorsque les portes du troisième étage s'ouvrirent, Zack et Gabrielle furent surpris. Ils s'étaient vraiment attendus à être abordés depuis longtemps. Ils étaient partis sur leurs déguisements car ils savaient que le couloir était surveillé. Les deux marchent aussi tranquillement qu'ils le peuvent dans le couloir vers le bureau d'Adam. Ils sont entrés, pour trouver le secrétaire manquant. Zack regarda Gabrielle, qui haussa les épaules.

« Pause café, peut-être ?

"Espérons."

Ils ont continué à marcher et ont ouvert la porte du bureau d'Adam. Ils trouvèrent alors sa secrétaire, sous lui et hurlant assez fort d'extase.

"J'espère que nous n'interrompons rien d'important," dit Zack d'un ton narquois.

Adam leva les yeux sous le choc pour voir Zack debout avec une fille alors qu'il baisait sa secrétaire, comme il le faisait tous les matins depuis qu'elle était devenue son esclave. Qu'elle ait un mari n'était pas important pour Adam ; il aimait la baiser.

"Qu'est-ce que tu fais ici, putain ?" Adam haleta. Il était essoufflé par ses efforts.

"Je suis juste venu régler un compte," dit Zack. Il se dirigea vers la porte la plus éloignée, qui menait au bureau de William. Pendant ce temps, Adam a quitté sa secrétaire, qui a fait peu d'efforts pour se couvrir, contrairement à Adam.

"William, j'ai besoin de toi ici une minute," dit Zack sévèrement. Zack s'éloigna de la porte et William fut bientôt à l'intérieur de la pièce. Il ignora la secrétaire d'une telle manière que Zack sut qu'il l'avait déjà vue nue auparavant.

Adam avait retrouvé la majeure partie de son sang-froid. "C'était idiot de ta part de revenir ici, Zachary."

"Pas vraiment. Gardez vos mains loin de votre bureau."

« Ou quoi ? Tu n'as pas l'air armé.

"Je ne le suis pas. Mais William l'est, n'est-ce pas, Will ?"

William fouilla dans sa veste et en sortit un Beretta de 9 mm.

"Will, si Adam bouge, tuez-le."

William commença à pointer Adam, mais ensuite sa main pivota et il pointa carrément Zack.

"Je ne pense pas," dit William d'un ton neutre.

"Qu'est-ce que-?" Zack n'a demandé à personne en particulier.

"Oh, avez-vous essayé de programmer William, Zachary ? Je suppose que j'aurais dû vous dire que lui, comme la plupart de mon entourage, a un code incassable dans sa tête. Comme moi, alors ne vous embêtez pas à essayer de me programmer. , non plus. Maintenant-"

À ce moment, un livre s'envola dans les airs. Il a frappé William en plein visage, lui cassant le nez. Alors que le sang jaillissait partout et qu'Adam jurait, Gabrielle, qui avait jeté le livre, attrapa la main de Zack et ils se précipitèrent dans le couloir.

"Où allons-nous?" demanda Zack alors qu'elle courait vers les escaliers.

"Partout!"

Ils se sont précipités au rez-de-chaussée, seulement pour trouver deux gardes armés debout à l'entrée principale. Heureusement, les gardes ne les ont pas vus et ils se sont faufilés dans un autre bureau au premier étage.

Zack désigna la caméra dans le coin de la pièce. "Tant que ces choses peuvent nous voir, elles peuvent nous trouver en un clin d'œil."

"Ils ne peuvent pas tous les regarder tout le temps !" dit-elle.

"Ils n'ont pas à le faire ! Tout ce qu'ils ont à faire, c'est de nous suivre sur les moniteurs !"

"D'accord... alors nous devons désactiver certaines caméras dans un couloir, puis plonger dans un bureau au hasard ou quelque chose comme ça !"

Zack n'était pas optimiste.

"Ça vaut le coup!" dit-elle. « Vous avez une meilleure idée ?

Il ne l'a pas fait.

Les deux quittèrent le bureau et descendirent le couloir vers la cage d'escalier. As they went, they disabled every camera they came across. Just as they reached the stairwell door, they doubled back and entered an office. This office was occupied by a clerk. Instead of reprogramming the poor man, Zack's martial arts skills kicked in, and the man was suddenly unconscious, bleeding on the floor.

"I didn't know you could do that," Gabrielle said in awe.

"Yeah, well..."

Gabrielle walked over and disabled the camera. She then ran out of the room and Zack looked around while she was gone. There was no way out of this office except back into the hallway. There wasn't even a window.

Gabrielle was back in a few minutes. "There are more guards at the entrance now. I disabled the cameras in about five offices, but that's not going to stop them for long."

"Non."

"What are we going to do?"

Zack sat down and tried to think. He wasn't sure what he could do, how he could escape.

"I didn't think this through very well," Zack said sourly.

"No time for that now!" Gabrielle snapped. They heard noises outside. Gabrielle walked over to the door and looked out. Three guards were entering the office down the hall from them, obviously searching it.

"Guards!" siffla-t-elle. "C'mon!"

The two bolted down the hallway. They actually ran past the guards, who were too focused on what they were doing, and missed the teens. The pair entered the stairwell again, and then Zack stopped dead. Gabrielle ran into him, almost knocking him over.

"What the fuck-" she started to say, but then she saw it, too.

"This stairwell's not on an outside wall," she said slowly.

"Je sais."

"So what is..."

"I don't know that. But we're going to find out."

What was in front of them was a door marked "Fire Exit". The alarm on the system was old, or at least looked to be old. Zack had no illusions that he could get through any sophisticated alarm system. This one, however, merely required him to yank on a wire.

"That can't be the only alarm," Gabrielle said.

"Maybe not, but we don't have very many choices now, do we?"

She agreed they didn't, and so they pushed open the doorway. There was no obvious alarm, though there was a light right over the door that was there to notify people the alarm had been triggered. They had no way to know if Adam was just being clever or not.

The two ran down the stairs that the door led to, and then stopped. Most of what they saw was empty space. They looked around quickly, trying to spot cameras or guards. There didn't seem to be any.

About two hundred feet away, there were three rooms that had lights on. Zack could not see any people, but they headed in that direction, running. When they got there, they confirmed their assessment: no one was down here. Au moins pas encore.

What was down here was a high-level computer system. Zack didn't know what the system connected to, and he had no time to figure it out. They could not stay near these rooms; they would have to find a good place to hide.

Leaving the computer rooms, they ran across the open space. The found a hallway, though it was getting hard to see anything, as dark as it was. They made their way more slowly down the hallway until they came to a doorway. Looking in, all they saw were crates and packing material.

"Why don't people throw this shit away?" Gabrielle asked.

"Be glad they don't. It's a good hiding place."

"I don't know... if they decide to search this room..."

"We'll hide near the back doorway."

Zack pointed, and they could both see a square of light on the far side of the room that indicated a hallway beyond. They moved over to it, and looked out. There was no one in this hallway, either.

The teens settled down between a crate and the wall, and breathed heavy sighs of relief. They knew they were still in deep shit, but at least they could stop running for a few minutes.

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"Where the fuck are they?" Adam demanded. Those around him wilted.

"They disabled the cameras in the first floor west hallway, and-" one of the guards tried. Adam cut him off at the knees.

"I know that, you moron! Where did they go after that?"

"Sir... we're... not sure."

"How the fuck do you lose two people in this building?"

No one had a ready answer for that.

"Get the fuck out!"

Adam's guards gladly got out of his office, leaving him and William alone.

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"We've got to find a way to take him down," Gabrielle said. When Zack didn't respond, she looked at him. She was about ready to nudge him, when she realized he was meditating.

At a time like this?

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"Welcome. You seem tense," Kate-maiden said to him. He wondered why his teacher was the one to come forward now, but he didn't have time to ponder it.

"I'm in mortal danger, of course I'm tense. I need to find a way to beat Adam. I've only got a few minutes to think it over. What do I know that I'm forgetting? Obviously, the program doesn't work on them."

"What you're forgetting is that the program is not your only weapon."

"Huh?"

Kate-maiden merely pointed. Zack mentally slapped himself. In the thick of things, he'd forgotten his secret weapon!

"Thank you."

"No problem," she said, and drifted off. Zack made his way back to consciousness.

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"Hell of a time to take a nap," Gabrielle said.

"I wasn't napping. I think I know what we have to do."

"Quoi?"

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William paced, holding a cloth to his nose, and said, "Where was the last place they said he was seen?"

"In the first floor west hallway."

"Did they see them in the stairwell?"

"Not that they... what are you thinking?"

"The lab."

"It's mis-marked. And it has an alarm on it."

The mis-marking in this case might be to our detriment. And the primary alarm is accessible."

"But the secondary..."

"Only gets set off on your system, sir, and you've been too busy to notice whether it's gone off or not."

"Merde." Adam slid over to his computer, and sure enough, there was a flashing indicator in his system tray. "Goddammit."

Adam and William left the office with three guards in tow.

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"You think that will work?" elle a demandé.

"It's our only shot. I've got to try."

Just then, they heard the door to the stairwell open.

Zack closed his eyes and concentrated. He reached out with his mind, seeking his targets. He saw their patterns, and he slipped into the first one easily. He looked around quickly, seeing signs of programming, but it was simple, very easy to defeat. If he could have used PAO, this person would have easily been converted. Unfortunately, PAO wasn't an option right now.

Softly and quietly, Zack started a chant in the man's mind. <The guard next to you is plotting to shoot you in the back. Shoot him first.> He repeated this over and over, time and again.

Meanwhile, Gabrielle moved out of the room and down the hallway. She was still hidden, but could see what was happening, as the people were in the middle of the open area.

Zack continued his mental chant, and Gabrielle watched. Suddenly, one of the guards took his gun and pointed at another guard, firing rapidly three times to the head.

Everyone else in the room was stunned. The other guard, fearing for his own life, tried to draw his weapon to kill the murderous guard. That guard, however, already had his gun out, and there was no way to misinterpret the remaining guard's actions.

Figuring that he had simply not known that this remaining guard was in on the dead guard's plot, the murderous guard opened fire on him, as well. Another three shots, and there was only one armed guard left.

William attacked from the left, trying to take down the guard before he could kill anyone else. The guard got off one shot, just as William connected with his jaw. The guard went down, unconscious. William collapsed from the bullet wound to his groin. He was screaming in pain.

No one noticed Gabrielle sneaking across the room. There were pillars for her to hide behind, and she used them. It wouldn't have been effective in a well-lit area, or with people who weren't distracted, but right now, there was only one person who might notice her, and he was about to be distracted beyond the ability to notice anyone but Zack.

"Adam!" Zack called out from the far hallway. Zack clearly saw Gabrielle, and he needed to grab Adam's attention so that he didn't see her.

Adam's head snapped around, seeing his enemy standing in the hallway entrance. He began to walk over to him.

"You son of a bitch. I don't know how the hell you did that, but you're going to die here."

Gabrielle, with her opportunity, ran over and grabbed a gun. She was not familiar with them, and so she grabbed the one she knew didn't have the safety on. She stepped around William, who was in no condition to even see her, let alone stop her. She put herself between Adam and the guns, and waited.

Zack ignored Adam's tirade, which was ongoing, and closed his eyes. He found Adam's mind, and saw a similar wall to the one he had encountered with Linda. He knew this was going to be no easy task. The wall was not quite as secure, and not quite as high, so he felt he might be able to slip in unnoticed... If...

Zack pulled out his PDA and pulled up a relaxation script. He didn't know what Adam might have protected his mind from, or how, but this was worth a shot. He lifted up his PDA, and pressed Execute.

"...bury you someplace they'll nev-" Adam's voice cut off abruptly. Zack watched not visually, but with his mind. He saw the shudders of Adam's mind. He saw what looked like an earthquake. At that moment, Zack pushed forward with his own mind, seeking an entrance. He scrambled back and forth as Adam's defenses attempted to stop him, but they were shaken by fighting off the new program. A small opening went unprotected, and Zack found it, just in time, as the program ended.

"Your program isn't going to work on me, you ass," Adam said again. He didn't notice Zack's stillness.

Gabrielle did. "That's far enough, you piece of shit," she called out.

Adam turned around, and saw her pointing a gun at him.

"Come on, little girl. We both know you're not going to shoot me..."

Gabrielle fired.

Adam cringed, and nearly fell backward. The shot ricocheted off the wall. She had not hit him.

"Was that supposed to scare me?" Adam said with a smirk. "I don't scare that easily."

"No, it was supposed to hit you," she replied. "And my next shot will, so just stand still."

Meanwhile, Zack was worming his way through Adam's mind. He looked for a way to beat the defenses, or to simply tear down the wall. Zack knew that if he could beat the wall, he could beat Adam's mind. He didn't understand why Adam's wall had not collapsed under the weight of the new program: Linda's had. It wasn't, however, immediately important. What was important was finding a way to...

Là! Zack said. He immediately pulled out of Adam's mind, and began furiously rewriting his script. He noted that Gabrielle currently had Adam's attention. That was good, because he needed Adam confused for another minute.

"You're not going to shoot me. You try to frighten me with a warning shot, but that's just bullshit," Adam said, starting to walk toward her. He noticed she wasn't firing at him, and figured that was proof of his accuracy.

Gabrielle ignored him, looking over at Zack. She saw him working on something, so she knew she needed to distract Adam for a little bit longer. She wasn't shooting at him because she didn't know how many bullets she had left.

Adam continued his blustering until he got about twenty feet from Gabrielle.

"So, just put down the damned weapon. I'm going to have my way."

"No," she said, leveling the gun at him. "You're not."

The shot rang loud in her ears. Adam cringed again, and this time he twisted around. Zack's head snapped up to see what had happened. He saw Gabrielle, standing with a gun aimed at Adam. He saw Adam suddenly grasp his shoulder.

Good timing.

Adam staggered, then fell to his knees because of the pain. As he did, Zack finished up the script, and walked over to Adam.

"Adam, meet Gabrielle. She's my programming partner." They watched Adam's eyes go wide. "Yeah, you didn't think I'd trust anyone quite that far, did you? And your spies never caught on."

"You'll never leave this building alive," Adam said through clenched teeth.

"Sure I will. I have the program, and you."

"You already tried to program me once. Obviously, it didn't work."

"You know what I always say. 'Try, try again'."

Zack raised his PDA and hit Execute.

Adam tried to turn away, but the version of PAO that Zack used was more powerful than any Adam had created. It was also faster. Adam's mental wall was a bit of psychological research that Zack had never glommed onto.

A minute later, Gabrielle was confused. "What's going on? It's only supposed to take ten seconds or so... Is your script that complex?"

Zack shook his head. "It's running the script over and over again. It's breaking down his internal wall one piece at a time. In another minute, I'll go in and watch. When his mental wall is gone, then I'll run the real script."

"Sneaky! How did you figure that out?"

"I saw the damage my script had done to his wall. We might want to punch up the strength of the program, to see if it can break this kind of thing on the first try, all the time."

"I thought you didn't want to use the program anymore."

"I don't want slaves anymore. I don't want people being hurt because of me. You and I are the only people I'd trust to possess the program."

"Thanks, Zack."

Zack nodded. Then he closed his eyes, and began to watch Adam's mind. In a few minutes, he felt it was time. He pulled out, and closed down the looping script. Adam collapsed to the floor, exhausted mentally and physically.

"Et maintenant?" Gabrielle asked.

Zack pulled up another script. "Well... one more slave. Briefly."

Zack kicked Adam in the shoulder. This caused Adam's eyes to go wide with the pain. Zack took that moment to run a new script on Adam.

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"Attention, ladies and gentlemen," Zack said to the assembled staff. "I have word that Adam has come out of surgery, and he is physically stable. However, he seems to be in an unexplained coma." That he will never, ever come out of, Zack thought to himself with a grim smile.

"In the event of such an emergency, Adam had some papers drafted that gave me full control and ownership of the company. I'm sorry to say that William Bogden, our Chief Operating Officer, did not survive his surgery. That is a position we will need to fill soon.

"Rest assured that most positions within the company will remain unaffected by this changeover. There is only one division that will be heavily impacted by the change, and I will speak to them personally by the end of the day.

"I am just a teenager, and I live in a different state. I will be looking for and hiring a new director for the company, as well as a replacement for William. Until that time, I want you all to simply continue to do the fine jobs you've been doing. I will let you know of any changes before I make them. So. Let's all get back to work, shall we?"

Zack walked out of the room to some stunned and confused faces. They chatted amongst themselves for a few moments to ascertain that nobody really had a clue what was going on.

Then, one by one, they went back to work.

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"So, did we win?" Wendy asked. They were on the plane back to Martina.

Zack nodded, and stretched. "We won. Adam will never be able to be conscious again. William died. Everyone in the facility who was touched by the program has been reprogrammed, to clear out Adam's influence. Before I zapped Adam into Never-Never Land, I had him sign over his company to me, so we have a really nice income now."

"With just one little issue left to resolve," Gabrielle said, to remind Zack. Zack nodded.

"Qu'est-ce que c'est?" Wendy wanted to know.

"The second spy."

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"Well, if it isn't Mr. Griffin and Miss Riddick. So nice of you both to join us once again. You do know that you have almost no chance of passing this class now, Mr. Griffin?"

"Oh, I don't know about that, sir. Why don't you just take a look at this?"

Ten seconds later, and their instructor had forgotten all about a man named Adam.

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Épilogue

Zack parked his motorcycle in the school parking lot, and turned it off. He looked up at the building, and could not believe just exactly how happy he was that his life had returned to some kind of normalcy.

Of course, for Zack, normal meant living with six women who all slept with him. Brian, Bonnie, and Pam had moved back into their old house to have some privacy. Since the ownership, and thus the income, of Adamant Computers was now under Zack's control, the family had no financial worries.

Zack had taken some time to find a manager for the company. Gabrielle had helped him, of course, and they felt that the company was in good hands. PAO, of course, assured that the manager would never betray Zack. Though he didn't like fully enslaving people, covering his own ass was now second nature.

Thinking about Gabrielle caused him a twinge of somberness. He found that he missed her. She'd been gone for two weeks, and though he had the others to keep him company, none of them was on his intellectual level, and he missed that.

Still, his home life was quite entertaining. Terry had decided to move back in with them all once the Adam issue was resolved. She was currently working at the college with Sharon, and seemed to be quite happy with things. Angela still attended college, but she didn't bother with the dorms anymore. Wendy was starting eighth grade today, and though she grumped about not being with Zack, he knew she would enjoy her last year of junior high.

Mary had turned herself into the housekeeper of the family, happily keeping things clean and doing the cooking and the laundry. Zack marveled that she so enjoyed the domestic life, but he was just glad that he didn't have to pick up the place.

The one girl who still troubled him was Stephanie. She had only been out of the hospital for a week. She was happy, but it still tugged at Zack's conscience that he had caused her to get shot. She had taken a load off his shoulders the previous night when, slowly and shakily, she had risen from her wheelchair to stand on her own two feet.

For about three seconds.

Zack chuckled. She'd fallen into his arms. He had said she just wanted to be held, and she did not disagree. Still, it showed that she would, someday in the not-too-distant future, be able to walk again. They had spent the evening celebrating.

Zack shook his head to clear his mind, and to pull himself back into the here and now. He got off his bike and walked toward the school. He was a little bummed out that none of his girlfriends went to school with him. He would either have to add one girl to his life, which he didn't really want to do, or he'd have to play around a lot. That appealed to him more.

As Zack approached the door, he realized that there was another person he'd let himself forget about. She was standing at the front door to the school, and so he walked over to her to say hello.

"Hi, Miss Pinches. How was your summer?"

"Hey, Zack. Dull. I've been waiting for you. Could you come with me, please?"

"Sure." Zack followed her to the media lab, where she unlocked the door and ushered him in.

Zack was fully into the room, with Kate locking the door behind him, before he realized there was someone else there.

Just then, Kate turned on the lights. The other woman was nude. Zack turned, to see Kate removing her blouse.

"We have to hurry, since school starts in fifteen minutes. You remember, I assume, Pat Barron?"

Pat walked over to Zack, and felt the growing lump in his pants. "I'm divorced now, Baby," she purred. "Let's get freaky."

Maybe it's not going to be so dull a year after all.

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